L'h ro ne principale du roman, Marie- lise, a dans son ascendance deux princes daces provenus de Transylvanie qui entrainent des chevaliers Carpatins et Danubiens, et plusieurs patriotes, dans le but de d fendre ce territoire martyris pendant des si cles.
Un de ces braves roumains, Parasch ve, se marie avec Flora, une joliesse qui vit en accord avec la nature et la Divinit dont elle se sent investie. De ce mariage, r sulte deux gar ons et trois fille dont la petite Marie-Elise parait r pondre l'espoir de Parach ve. Il lui enseigne les sciences et l'histoire et il lui confie ses profondes r flexions crites.
Quand Parasch ve tombe victime de ses ennemis, Marie-Elise rassemble ses r flexions pour les sauver. Un jeune instituteur violoniste qui a tudi au conservatoire r ussit faire Marie-Elise se relever de sa douleur et l' pouse. Il est l'arri re-arri re petit-fils d'une famille entr e en l gende c t d'Etienne le Grand qu'ils ont soutenu dans sa plus rude bataille contre les Turques, pour emp cher l'assujettissement de Danube. Le roman continue avec la vie tourment e de Marie-Elise, la m re de l'auteur-m me, qui vit l'occupation pendant la premier guerre mondiale, la grippe espagnole et la crise financi re de 1930, jusqu' la deuxi me guerre mondiale. Pendant ce temps-l , elle a eu 13 enfants dont elle en a perdu 3 pendant la grippe espagnole. Elle r ussit quand-m me lever 8 enfants leur assurer les tudes et la force de donner aux autres, par leurs professions, le meilleur d'eux-m mes.
Elle va toujours vers son id al de rendre l'homme meilleur pas sa voix de sagesse habill e de beaut . C'est quoi le meilleur de ce roman? Le profond sens philosophique? Le noble message? La magie po tique? Le dynamisme? L'inventivit sans bornes? La fra cheur vivace des personnages? Ou bien l'aspiration ascendante vers la perfection, la lumi re, l'absolue?
La conscience semble tre l'axe fondamental de ce roman. Ce qui correspond l'id al qui s'en d gage: rendre l'homme meilleur. C'est l'id al que l'auteure a poursuivi toute sa vie.
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ENGLISH:
The main character of the novel, Marie- lise, has in her ancestry two Dacian princes from Transylvania who train Carpatian and Danubian knights, and several patriots, to defend this territory martyrized for centuries.
One of these brave Romanians, Parasch ve, marries Flora, a pretty woman who lives in harmony with nature and the Divinity with which she feels invested. From this marriage resulted two boys and three girls. One of them, little Marie-Elise, seemed to respond to Parach ve's hopes. He teaches her science and history and endows her with his deep written reflections.
What is the best of this novel? The deep philosophical meaning? The noble message? Poetic magic? The dynamism? Unlimited inventiveness? The lively freshness of the characters? Or the ascending aspiration towards perfection, the light, the absolute?
Conscience seems to be the fundamental axis of this novel. Which corresponds to the ideal that emerges: to make people better. This is the ideal that the author has pursued throughout her life.