"... s'il est exact d'affirmer que dans le corps de l' glise chaque peuple a son r le jouer, - un r le de membre, - et que tous les peuples, membres les uns des autres, sont appel s collaborer, et que de l'enchev trement de leurs r les r sulte la vie collective du corps commun, le membre qu'est la France peut, sans fatuit , r clamer des autres membres reconnaissance et respect. Se tournant vers les catholiques du dehors, la France a le droit de leur dire: Que vous le vouliez ou non, je tiens une place dans l'histoire de vos mes; je la tiens par mes soldats et par mes missionnaires, par mes penseurs et par mes artistes, par nies saints et par mes sanctuaires; rentrez en vous-m mes et connaissez-vous vous-m mes; vous y retrouverez quelque chose de mon apport. B n ficiant de la vie de l'Eglise, vous tirez d s lors avantage de tout ce que j'ai fait et de tout ce que je fais en vue d'enrichir et d' panouir cette vie. Et si, remontant dans le pass de votre peuple, il vous advient peut- tre de discerner mon influence certains tournants de sa vie spirituelle, j'ai confiance qu'alors, vous qui diffamiez une partie de moi-m me et n gligiez d'observer l'autre, vous commencerez au moins de m'accorder votre justice, et le reste par surcroit. ..."