La surpopulation, le débordement des décharges, le réchauffement climatique, l'appauvrissement de la couche d'ozone, les pluies acides, la perte d'espaces verts, la pollution de l'eau et l'extinction des espèces sont causés par le comportement humain. Face à tous ces problèmes, les gouvernements de nombreux pays du monde tentent de mettre en place une législation suffisante pour réduire la production de CO2 et modifier les modes de vie et les comportements des personnes en faveur d'une plus grande durabilité dans les foyers, les entreprises et les établissements d'enseignement. L'objectif de cette étude était d'identifier les facteurs susceptibles de prédire un comportement pro-environnemental sur le lieu de travail. De nombreuses études se sont concentrées sur le comportement des ménages, mais moins sur le lieu de travail jusqu'à présent. Sur la base d'un examen approfondi de la littérature, trois groupes de facteurs susceptibles de prédire un comportement pro-environnemental sur le lieu de travail ont été identifiés : les facteurs démographiques, internes et externes. Le modèle a ensuite été testé auprès des employés de l'université de Wageningen. Le modèle développé et testé a montré un modèle global de relations entre les valeurs, l'intention d'agir, le contrôle perçu du comportement, les normes sociales et personnelles et les attitudes envers le comportement pro-environnemental.