Parce que la libert n'est jamais un acquis, l'auteur de ces quelques pages rest es c l bres nous rappelle avec justesse que si les d mocraties modernes furent construites afin de promouvoir la libert des individus citoyens, faut-il encore que ceux-ci ne se replient pas sur la d fense de leurs int r ts particuliers et ne s'abstiennent pas de faire vivre cette citoyennet au sein d'une d mocratie laquelle chacun doit s'efforcer de participer. C'est aussi, de fa on plus large, de la d finition du mot Libert dont il est ici question, une libert dont le lecteur comprendra qu'elle est conditionn e par la facult accord e chacun de peser sur l'administration du Gouvernement.