Ce recueil livre un hommage vibrant aux trop souvent oubliées de l'histoire, les femmes, mères, soeurs, filles ou grand-mères, premières à souffrir lors des conflits dévastateurs de ce monde. Fruits de plusieurs années de recherche, sa démarche artistique cherche la vibration de la joie, une énergie de paix qui commence par soi-même. Partant de son histoire personnelle, l'auteur propose en point de départ les prénoms de ces femmes en 1916 dans les Yvelines, en France. Cette situation provient à la fois de son environnement proche et de cette porte d'entrée du nom dans le lieu éponyme, espace privilégié de création et de témoignage. Il construit sur cette racine commune une symbiose entre l'écriture et la peinture, au travers de haïkus libres.