-Okay. Ce fut ma seule r action. Mon m decin, monsieur Klein, me regarda avec bahissement. -Mais mademoiselle... Vous ne comprenez pas... Je....essaya -t-il. -Non monsieur, j'ai tr s bien compris. Calmez-vous. Respirez. Expirez. Et maintenant si vous allez mieux, je dois aller. plus Je pris le chemin de la sortie quand soudain, je me stoppai net. - Ah et puis, souriez, vous avez une mine faire peur docteur, dis-je en souriant. Aussi, ne soyez pas triste. Vous ne pouvez pas sauver tout le monde. Arr tez de vous culpabiliser. Avec le peu de ma trise de soi qui me restait, je sortis enfin dehors et je pris une grande inspiration. Je marchai pendant des heures, sans une destination pr cise...J'essayai de mettre de l'ordre dans ma t te. Au moins, il y avait trois choses dont j' tais s re et certaine. 1. Ma m re allait me tuer, car j' tais en retard. 2. Ma m re allait me tuer, car j'avais mis le bordel ce matin la cuisine, en pr parant mon d jeuner. 3. J'allais mourir peu importe la raison. Il me restait un mois vivre.