Les C francs masqu s (c'est dire pudiquement voil s pour ne pas aguicher l'entreprenant corona-machin) jettent des regards r probateurs ceux qui - tort ou raison - se refusent raser les murs et ob ir servilement aux excessives et abusives injonctions gouvernementales... Celles-ci tant un savant cocktail d'incomp tences nourri il est vrai, par les t tonnements et les pr ventions d'une caste m dicale aux savoirs cloisonn s et sp cialis s, confite en th orie mais dans les faits assez mauvaise praticienne... En un mot, des professionnels de la m decine, longtemps bureaucratis s et par cons quent devenus incapables de porter un diagnostic v ritablement circonstanci sur une virose mergente. Le tout se concentrant dans une sorte de monopole troitement connect aux m ga int r ts des secteurs chimique et industriel de la Sant . Bref, un milieu confin qui en outre menace ceux qui voudraient attirer l'attention sur l'existence d'efficaces traitements alternatifs...
Certains croient que le coronavirus est un ch timent de Dieu... mais non le ch timent divin c'est Macron, la R publique en marche, c'est- -dire la social-d mocratie, matrice toujours f conde, parturiente d'une humanit d chue, victime d'une lente dissolution planifi e dans l'acide d'un communisme bas bruit, d'un arasement universel qui ne dit pas son nom, mais nivelle toujours plus bas... sous couvert d'altruisme, de solidarit , d'humanisme, de philanthropie, d'ouverture l'autre et aux autres, au nom des droits, ces droits d clar s fondamentaux et sacr s qui, l'instar d'une cr maill re - ou de crocs reptiliens tourn s vers le gouffre f tide d'une gueule vorace - au noble motif de libert et de lib ration, nous entra nent m caniquement dans la g henne. Ceci tant un simple constat v rifiable chaque pas et tous moments.