La présente étude s¿inscrit dans le contexte d¿une urbanisation de pauvreté qui ne participe pas au développement de nouvelles productions urbaines que surtout, les quartiers populaires de Kisangani. La ville, victime d¿une crise socio-économique sans précédent, fait de plus en plus face à une explosion spéciale et démographique non soutenue par un aménagement urbain conséquent. L¿action, censée produire des infrastructures sociales de base et conduire l¿assainissement de l¿espace, reste moins efficace, provoquant ainsi un environnement urbain vulnérable pour des milliers de citadins qui vivent quotidiennement dans la pauvreté. Kisangani, dit-on, est une représentation macro céphalique dans le système urbain en République Démocratique du Congo, grossie par une « croissance vertigineuse des bidonvilles.Les quartiers de TOKOMEKA et DJUBUDJUBU dans la ville de Kisangani étant situes sur les espaces non-urbanistiques font face aux problèmes d¿insalubrité et inondations régulières mais la population y vit toujours. Nous avons focalisé notre attention de recherche sur les stratégies que la population rapetasse dans ces quartiers défavorisés comme résilience face à cette situation.