FUTURE GRANDE UVRE DE LA LITTERATURE CAMEROUNAISE: Ce manuscrit date de 1984. C'est la date de sa premiere partie. Mais la date de son achevement ne nous est pas connue. Il m'a etait remis en juillet 1992. Je l'ai garde dans mes archives et parfois ne pouvais pas le localiser dans mes affaires. C'est justement il y a de cela 4 ans que je pense a sa publication. Le probleme qui m'empechait de le publier etait resolu. Apres avoir publie 15 livres a mon propre compte, me connaissant assez en la maniere, j'ai consacre deux semaines au mise a jour de ce document que je trouve tres precieux . Je suis certain qu'il entrera dans l'histoire de la litterature camerounaise. Il aura la stature de A Tale of the Two Cities (1859) par Charles Dickens en Engleterre, de Uncle Tom's Cabin (1852) par Harriet Beecher Stowe aux Etats-Unis. Encore plus, il ressemble a Beowulf qui est un long poeme epic du 8ieme siecle en Engleterre. Celui-ci est considere comme l'une des pieces de litterature anglo-Saxonne les plus importantes. Il y a un grand rapprochement entre l' uvre du feu Owono Mimbo et la Chanson de Roland qui est un poeme epic et heroique decrivant la bataille de Charlemagne a Roncesvilles en 778. En lisant l' uvre de Monsieur Owono Mimbo qui parle d'abord de la conception africaine de Dieu en rapport au Dieu de la Bible et de l'homme, celle-ci ce centre sur le peche et le salut de l'homme qui le conduit finalement a la terre promnise grace au sang du Messie mort pour ses peches . Seul son Createur pouvait aussi etre son Sauveur. Cette uvre de termine par deux prieres: celle de l'homme dans ses douleurs et celle de l'homme chretien, vrai pelerain sur cette terre.Comme il a deja ete dit, cette uvre est une piece litteraire de grande valeur. Elle n'a pas de valeur theologique ou religieuse quoiqu'ayant des vertus ethiques, sociales et culturelles.Je remercie le feu Owono Mimbo qui m'a juge digne de publier son uvre et surtout Dieu qui a use de sa proividence pour faire de moi l'instrument et l'agent de faire connaitre ce noble Camerounais a travers cette uvre. Que le Seigneur en soit loue. Francois K. Akoa-Mongo le 17 juillet 2013"