Aujourd'hui, si un évènement social et culturel mérite que la sociologie s'y arrête et que l'observateur y réfléchisse très sérieusement, c'est bien le problème du Divin, du Corps, de la conscience. Bien que confrontée à des cas de déculturation, la recherche vit rarement un aussi flagrant phénomène pour dire paradoxal, quand la sociologie de la connaissance s'affiche de cette honte qu'est l'ignorance de la réalité électromagnétique du corps, considérée comme une inversion des valeurs sociétales marginales qui révèlent de véritables 'obstacles' épistémologiques à résoudre. Notre approche étant holistique se réclame d'une ré-ouverture de la réflexion sur notre êtreté. La métaréflexion conduit à "La Vérité qui est comme la Lumière du Soleil. Le hibou la fuit, l'aigle la regarde". La métacritique ne se définit pas en tant que la pensée ou la conclusion auxquelles conduit le fait de réfléchir. Elle n'est pas non plus l'observation critique adressée à quelqu'un. La métascience vient nous révéler la conscience de l'Unité de notre être, une conscience qui englobe tout ce qui existe, même dans les pires illusions, les ténèbres les plus opaques : l'âme.